Kyrie Eleison - Les enfants de Satan

Enfants de Dieu, vous voilà adoptés par Satan...
Forum Rpg.

 
Nous sommes en mars 1850...Le temps est plutôt à la pluie du côté de Paris, brumeux pour la Transylvanie et clément en Italie...


Les prédéfinis sont arrivés ! Adoptez-les, ils sont adorables <3
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 Cilian

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Cilian
Cilian


"Le charme : une manière de s'entendre répondre “oui” sans avoir posé aucune question claire."


&quot;Vice : plaisir que l&#39;on n’a pas goûté.&quot;

Récits :
8

Localisation :
Ne t'inquiète pas, mon tendre trésor, je ne suis pas loin...



Derrière le masque
Relations positives:
Relations négatives:
Dangerosité:
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MessageSujet: Cilian    Cilian  EmptySam 26 Mai - 10:35


Cilian
"La vie sans plaisir est une mort hideuse."

Cilian  Cilian11









Généralités.

Nom : Cilian
Âge : 330 ans
Date de naissance et de mort : 21 juin 1520 - 18 août 1544
Race : Vampire
Caste : Enjôleur
Clan : Transylvanie
Éventuels enfants : Sorina et Ilie
Créateur : Le Vampire Mircea









Récit psychologique.



"Sous mon air d'innocente, sommeille encore l'ennemi ultime, la mutine furie et déraison..."

Cilian est un hédoniste. C'est ce qui le définit le mieux, apparemment. Il est assez capricieux, souvent égoïste et manipulateur. Il lui arrive d'être très indifférent. Suivant son humeur, il peut se montrer cruel, voire sadique avec ses victimes, mêm si souvent, il préfère se montrer doux et gentil avec ses proies. Il est assez ambigu, tantôt doux et timide, tantôt cruel et sanguinaire. Il recherche le plaisir, l'expérience de sensations toujours nouvelles. Ca lui évite de se morfondre sur la froide et cruelle désolation de l'Eternité. Le Transylvain déteste être seul et recherchera toujours une compagnie quelle qu'elle soit. Il est très séducteur, très affectueux et surtout extrêmement espiègle.
De prime abord, il peut paraître un peu timide, voire craintif. Mais dès qu'il est en confiance, il semble se transcender et se lâche. Il possède un humour assez caustique et peut parfois être blessant sans le vouloir. Avec les gens qu'il aime, il est très protecteur, vraiment très loyal et à l'écoute. Jamais il ne laissera qui que ce soit porter atteinte à l'un de ses proches. Et il vaut mieux éviter de se faire un ennemi de Cilian, car il est très rancunier et possède une détermination à toute épreuve. Il n'est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds sans réagir. Il n'a aucun scrupule à tuer et en éprouve parfois même un certain plaisir. Sa technique de chasse préférée, même si elle peut prendre un long moment, consiste à séduire sa victime, de l'attirer petit à petit entre ses griffes, usant de sa beauté surnaturelle, de son éloquence, de son élégance, de tous les avantages dont la nature et le Don Obscur l'ont pourvu au fil des siècles, jusqu'au moment fatidique où ses canines se plantent dans la chair tendre. Quelques fois, il se contente juste de prendre rapidement ce qu'il souhaite, mais cela arrive assez rarement.
Les drames et les désillusions ont contribué à lui donné un côté cynique qui, combiné à son humour caustique, fait de lui un parfait exemple de l'esprit romantique frénétique.








Récit physique.



"Je suis la rose noire aux épines vénéneuses, l'ultime vision quand se ferme ton cercueil, la présence et l'ombre que tu pressens dans la nuit..."

Comment parler de Cilian sans commencer par décrire ses yeux qui lui ont valu tant de brimades de la part de son père et de son précepteur, ses yeux qui faisaient dire à ces deux êtres abjects qu'il était damné ? Le gauche est noisette, pétillant de malice et de douceur, tandis que le droite, bien que vivant, est aussi blanc que celui d'un aveugle, exception faite de sa pupille d'un noir aussi profond qu'une nuit sans lune. Même si le contraste entre les deux fait passer son oeil gauche pour noir, il suffit de l'observer à la lumière d'une chandelle pour se détromper. Ses longs cheveux blonds platine ondulent grâcieusement de chaque côté de son visage et s'élèvent sauvagement sur le dessus de sa tête, marquant un contraste de plus dans son physique. Bien qu'il ne soit ni très grand, ni très musclé, il en impose par son élégance et sa prestance. Son rire et sa voix peuvant ou ravir les coeurs ou glacer le sang, selon son humeur, mais ils ne laissent jamais personne indifférent. À l'instar de son sourire. Au niveau vestimentaire, s'il apprécie beaucoup les couleurs sombres et la dentelle noire, il raffole des vêtement du XVIIIe siècle aux couleurs claires ou vives, selon son humeur. Il porte souvent divers bijous en argent et de petites boucles d'oreilles noires. Sa démarche est assez féline et très grâcieuse. Déjà de son vivant, il était très pâle, depuis sa naissance au Monde de la Nuit, il est presque blanc. Ses mains fines et élégantes, il les cache parfois sous des gants de velours. Pourtant, il préfère souvent porte des mitaines, car il ne peut passer une nuit sans jouer du violon.Bien sûr, quand il doit entrer en contact avec des humains, il porte ses gants. Il aime les chaussures légèrement surélevées et se maquiller légèrement.









Chroniques d'une vie.




« Entrez, bienvenue dans mon monde… »

Alors vous voulez que je vous parle de mon passé ? Vous vous intéressez aux longues histoires entrecoupées de digressions et de réflexions ? Parce que c’est ce qui vous attend. Et pardonnez-moi pour cela, mais c’est ma façon de raconter. Je ne vais rien vous cacher de ma vie, je vous le jure. Tout ce qui me reviendra vous sera dévoilé. J’espère que vous aimez ce genre de récit.

Toute histoire qui se respecte a un début. Celui de mon histoire eut lieu en Transylvanie, au château de Bran, un beau jour de l’été 1520. Ma mère, la duchesse Crina Vasilescu, mit plus d’une dizaine d’heures à me mettre au monde et faillit y laisser la vie. Mais, comme je devais le découvrir plus tard, elle était bien plus forte qu’il n’y paraissait. Elle avait déjà enfanté un garçon de cinq ans mon aîné, Dragos, et une fille de deux ans, Sorina. Je n’ai jamais vraiment su pourquoi, mais mon frère et mon père m’ont toujours mis à l’écart, alors que les femmes me témoignaient beaucoup d’affection. Ma mère m’appelait « Pisoi » (« chaton »), et ma sœur « Stea » (« étoile »). J’étais très heureux avec elles, mais mon père, Andrei Vasilescu, même s’il ne m’appréciait guère, voulait tout contrôler de ma vie. Il disait que j’étais damné, que j’avais l’œil du Diable. Mais ma mère refusa catégoriquement qu’on fasse venir un exorciste. Quand j’eus cinq ans, il fit venir d’Allemagne un religieux précepteur, le père Franz Himmel, tout aussi à cheval sur les questions de religion et de discipline que le duc Vasilescu. Il avait toute autorité pour me punir comme il le souhaitait et il ne s’en privait guère. Il me frappait souvent, quand je me montrais dissipé ou inattentif. C’est-à-dire, la majorité du temps. Mon père et lui étaient déterminés à me faire entrer dans les ordres quand j’en aurais l’âge. Franchement, vous m’imaginez prêtre ou moine ? Le Vatican aurait eu du souci à se faire. Ce que je voulais, moi, c’était découvrir le monde, faire des rencontres, apprendre de nouvelles histoires, entendre de belles chansons, découvrir les plaisirs de la vie. Ce goût me venait certainement du fait que ma mère ouvrait notre porte à moultes voyageurs, saltimbanques et gitans. Mon père et mon précepteur s’en arrachaient les cheveux, mais la charité chrétienne et le devoir d’hospitalité les muselaient un peu. Mon frère se rangeait de leur côté et adressait à peine la parole à nos hôtes. Pour ma part, j’étais vraiment fasciné, je pouvais passer des heures à les écouter parler de ce qu’ils avaient vu ou vécu. Certains de nos invités restaient deux ou trois ans chez nous et l’un d’entre eux, Dorin, un magnifique jeune musicien gitan au physique très androgyne et au caractère rebelle, fut mon premier véritable ami. Il avait trois ans de plus que moi, mais il ne me considérait pas comme un gamin, me poussant toujours à ne pas me laisser faire et de n’obéir qu’à mon cœur. Il me parlait des voyages qu'il avait fait, des gens qu'il avait rencontrés, des merveilles qu'il avait vues... j'étais comme hypnotisé. Le père Himmel essaya de me mettre en tête que ces gens du voyage étaient les descendant de Caïn, l'auteur du premier meurtre, selon la Bible, et que je compromettais mon âme à passer tant de temps avec eux. Mais hélas pour lui, mon coeur avait beaucoup de questions auxquelles même le fanatisme le plus extrême n'aurait su répondre et je n'avais d'oreille que pour les récits de mon ami gitan.

Quand j'eus seize ans et que mon père me demanda dans quel monastère je voulais aller, je lui répondis avec fermeté que je n'entrerais pas dans les ordres, que c'était hors de questions. Quelques gifles plus tard, n'ayant toujours pas changé d'avis, je quittai le château pour rejoindre mon cher Dorin pour lui conter toute l'affaire. Il me proposa d'aller faire un tour pour me détendre un peu. Nous empruntâmes donc deux cheveux et partîmes vers la plaine pour y galoper. Au bout de deux heures, nous fîmes une pause au bord d'une rivière pour faire boire nos montures et nous rafraîchir un peu. Mon ami sortit de son sac une bouteille de vin et quelques victuailles. Nous nous assîmes dans l'herbe et commençâmes à manger en discutant de tout et de rien. Nous étions bien, tous les deux, et Dorin me ravit avec ses histoires de voyages et les chansons qu'il avait entendues au cours de ceux-ci. Ses voix m'hypnotisait, me charmait comme jamais aucune autre. J'étais fasciné comme le lapin sous les yeux du serpent, tandis qu'il me contait la beauté des paysages toscans ou castillans en enroulant nonchalamment ses boucles noires autour de ses doigts fins de violoniste, d'un air rêveur. Je m'étais à peine rendu compte qu'il s'était approché de moi plus qu'aucun homme n'avait jamais osé le faire. Avant même d'en prendre conscience, je sentis ses lèvres se poser sur les miennes avec douceur, et sa main caresser ma nuque tendrement. Jamais je ne m'étais senti aussi bien qu'au moment où je sentis ses bras m'étreindre et ses lèvres parsemer mon visage de myriades de baisers. Pour la première fois de ma vie, je me sentais vraiment vivant, en paix avec moi-même.
Quand nous revînmes au château, nous fûmes accueilli par mon ancien précepteur, sur le chemin du départ. Je compris, entre deux malédictions et gérémiades, que ma mère avait réussi à convaincre mon père de renvoyer ce vieux fou en Allemagne. À l'entente de cette nouvelle, je ne pus réprimer un sourire de satisfaction, ce qui me valut quelques malédictions de la part du Père Himmel. Je n'en avais cure, j'étais débarassé de ce fanatique violent et stupide, c'était tout ce qui comptait. Mon père et mon frère me rabrouèrent séchement sur la conduite que j'avais eue quelques heures auparavant et m'annoncèrent que puisque je me refusais à entrer dans les ordres, il me fallait me marier, ce qui, pour moi, n'était pas une perspective beaucoup plus alléchante que la précédente.Je courus jusqu'à mes appartements, talonné par Dorin, et, quand je fus chez moi, je rassemblai quelques affaires, bien déterminé à quitter cette maison au plus vite. J'aimais tendrement ma mère et ma soeur, mais je refusais de devoir me marier à une parfaite inconnue. J'étais épris de liberté et de découvertes, je ne me sentais pas prêt à m'enfermer dans une vie de famille. Je voulais partir avec Dorin, voyager, voir les merveilles qu'il avait vues. Mais le jeune gitan, avec un sourire doux, m'embrassa et me dit qu'un tel jour viendrait, mais quand je serai un peu plus âgé, mais que pour l'instant, ma mère et ma soeur avaient besoin de moi. Il me prit dans ses bras et me promit qu'il ne partirait pas du château avant que je n'aie l'âge de partir à mon tour.

Hélas, il ne put tenir sa promesse. À cause de mon frère. La veille de mon mariage avec la fille du Comte Iliescu, quelque quatre ans plus tard, Dorin vint me voir dans ma chambre. Nous nous embrassâmes comme jamais nous l'avions fait, mon ami me prodigua des caresses si douces que je me retrouvai totalement à sa merci. Mais, alors que mon amant m'allongeait doucement sur mon lit en me couvrant de baisers exquis, mon frère fit irruption dans la pièce pour me proposer d'aller boire à mes épousailles. En nous apercevant, il se figea net. Je le vis avec horreur se jeter sur mon amant et le jeter à l'autre bout de la pièce avant de tirer sa rapière. J'eus tout juste le temps de me redresser et de me saisir de son poignet pour l'empêcher de tuer Dorin sur place. Dragos lâcha son arme et me gifla à la volée et me traita de tous les noms possibles et imaginables. Puis il se tourna vers mon ami et le défia en duel, pour le lendemain matin.
Quand mon père apprit cela, j'eus droit à la correction la plus sévère et la plus cruelle de ma vie. Seule l'intervention de ma mère me sauva de l'évanouissement. Le mariage fut annulé et le lendemain matin, aux aurorres, et malgré mes nombreuses ecchymoses, j'assistai, impuissant au duel opposant mon frère et mon amant. Je dus regarder deux hommes extrêmement chers à mon coeur s'affronter pour réparer un honneur soi-disant bafoué. Jusqu'à ce les deux rapières se plantent en même temps dans la poitrine qui leur faisait face, m'arrachant un cri sonore. Ce fut ainsi que la même seconde m'arracha et mon frère et l'homme que j'aimais.
Je portai le deuil de Dragos et de Dorin durant pratiquement deux ans. Je devins comme un animal sauvage, craintif et farouche, ne me laissant approcher que par ma mère et ma soeur, qui, de toutes manières, étaient les seuls membres de ma famille à accepter de m'adresser encore la parole. Mon père m'aurait très certainement renié si je n'avais été son seul fils survivant. Depuis la mort de mon aîné, il ne supportait plus ma vue, ni celle de ma mère. Deux ans après le duel, je préparai quelques affaires et fuis la demeure familiale.

Mais ce voyage qui me faisait rêver, s'avéra pus difficile que je ne le croyais. Après avoir dépensé tout l'argent que ma mère m'avait donné, je n'étais pas encore sorti du pays. Je dus m'arrêter à Alba Iula, où je louai une petite chambre au-dessus d'une taverne. Je fus même contraint de vendre mon cheval pour payer la location de la chambre et de la nourriture pour quelques jours. Mais bientôt, je n'eus réellement plus rien d'autre que le violon et l'archet de Dorin, ainsi qu'un anneau ayant appartenu à mon frère. Ces objets-là m'étaient par trop précieux pour que je me résolve à m'en débarasser. Hélas pour moi, cette détermination me conduisit à la rue. Et je n'avais même pas de quoi rentrer chez moi. Pourtant, je refusai de me laisser aller au désespoir et je me battai pour survivre comme un forcené. Pourtant, chaque nuit où je parvenais à m'endormir, je revivais la même scène encore et encore dans mes rêves: Dorin et Dragos s'entretuaient et quand je m'approchai d'eux, leurs cadavres se relevaient et m'accusaient. "Tu nous as tués", disaient-ils en s'approchant de moi d'un pas lent mais inexorable. Et chaque fois, je m'éveillais en sursaut, les yeux emplis de larmes. Je savais que je n'y étais pour rien dans cette tragédie, mais mon coeur saignait d'une irrationnelle culpabilité. Mon instinct de survie était acéré, mais mon coeur me faisait souffrir au-delà du supportable. J'aurais tout donné pour que cette inhumaine souffrance cesse. Et c'est là qu'il m'a trouvé. Lui.

Je me souviens parfaitement de ma rencontre avec mon créateur. C'était le soir de mes vingt-quatre ans. J'étais dans la rue juxtant la taverne où j'avais travaillé quelques temps, jouant du violon pour essayer d'endormir la plaie béante qu'avait laissé la mort de mon amant et de mon frère, et la désillusion de ce voyage. Je n'avais pas peur des coupe-jarrets, tout le monde savait que j'étais sans-le-sou. Alors que je ne sentais plus mes doigts à force de jouer, je sentis une présence près de moi. Quand je levai les yeux, je vis un homme réellement magnifique qui s'agenouilla près de moi avec un sourire doux. Je cessai de jouer pour plonger mon regard émerveillé dans les magnifiques yeux de l'inconnu. Sans dire un mot, il se releva et me tendit la main pour m'aider à me relever. Je l'attrapai vivement et me mis debout. Sa main était glacée, mais je n'y pris guère attention. Toujours sans proférer une parole, il me fit signe de le suivre. Comme hypnotisé, je lui emboitai le pas, mon violon et mon archet toujours en main. L'étranger me guida à travers les rues d'Alba Iula sans m'adresser la parole. Je pense que j'aurais dû fuir à ce moment-là, si j'avais réellement tenu à mourir. Mais la seule présence de cet être si particulier amenuisait ma souffrance. Et puis, la faim,, la soif et le manque de sommeil rendaient mon esprit bien trop brumeux pour m'inquiéter de son silence. Nous arrivâmes bientôt devant un grand manoir sur les hauteurs de la ville. Il m'y fit entrer, referma la porte derrière lui et appela la domestique. C'était la première fois que j'entendais sa voix et elle m'enchanta autant, si ce n'est plus que le reste de sa personne. D'une certaine manière, elle me rappelait celle de mon beau et très regretté Dorin. Quand la servante arriva, mon hôte lui demanda d m'apporter un repas complet avec un verre de vin. Puis il se tourna vers moi et se présenta enfin. Il se nommait Mircea et me proposa de m'installer quelques temps chez lui, pour me retrouver un peu. J'acceptai volontiers son invitation et me présentai à mon tour. Puis avec un sourire tendre, il m'amena à l'étage et me montra une chambre qui allait être la mienne. Il me laissa m'y installer tranquillement et redescendit. Pendant le temps libre que j'avais à disposition, je posai mon instrument sur une étagère avec une certaine déférence. Ce violon était certes un peu grossier, surtout si on compare avec la qualité des violons qu'on trouve de nos jours, mais Dorin l'avait ramené d'Italie. C'était l'un des tous premiers violons européens et d'ailleurs, je l'ai encore. Après une légère caresse sur le manche de l'instrument, je rejoignis le rez-de-chaussée pour manger mon premier vrai repas depuis longtemps.

Mircea était un hôte fort agréable et l'homme le plus généreux qu'il m'ait été donné de rencontrer. Il m'offrit de nouveaux vêtements, m'offrit une nouvelle vie, me permit de redevenir, petit à petit, moi-même. Chez lui, je repris ma vie de seigneur, retrouvant le confort que j'avais connu durant mon enfance. Et puis, malgré le fait que je ne le voyais qu'à partir de la nuit tombée, il me captivait et me séduisait avec une facilité déconcertante. À peine un mois après notre rencontre, j'eus été prêt à lui offrir ma vie. Ce que j'allais faire moins d'un mois plus tard. Je l'aimais, presque autant que j'avais aimé Dorin. Ses caresses et ses baisers me rendaient fou, même s'il n'avait jamais voulu aller plus loin. Je lui servis également de modèle, car il peignait. Il fit même un magnifique portrait de moi grandeur nature. Franchement, j'étais totalement sous son emprise.

Le soir du 18 juin 1544, après le repas du soir, Mircea me fit dire que le portrait était terminé et qu'il voulait que je vienne le voir. Tout excité, je me précipitai dans son atelier dès que j'eus terminé mon assiette. En voyant le tableau, je manquai défaillir devant la beauté et le réalisme de la peinture. Je restai totalement sans voix et je lui tombai dans les bras avant de l'embrasser passionément. Il répondit très favorablement au baiser et se mit à m'embrasser le cou avec douceur. Comme d'habitude, je me livrai entièrement à lui, je me mis à sa merci, sans la moindre retenue, sans le moindre remord. J'étais à lui, à lui seul. Je sentis à peine la piqûre de ses canines dans la chair tendre de ma gorge et je ne réagis même pas en sentant mes forces me quitter lentement, inexorablement. Ce moment avait quelque chose d'extrêmement sensuel, bien que la morsure ne soit pas des plus agréables. À l'instant où mon esprit commença à sombrer dangereusement, mon amour délaissa mon cou, s'entailla le poignet et me fit boire son sang. Au départ, mes lèvres restèrent fermées, mais je manquai rapidement d'air et le liquide écarlate coula le long de ma gorge. À partir de là, j'accueillis le fluide avec bonheur et avidité. J'entendais le coeur de Mircea battre à un rythme assourdissant, tandis que le mien commençait un lent crescendo. Au bout de quelques minutes, je n'entendis plus qu'un seul rythme, celui de nos deux coeurs à l'unisson. Puis, mon hôte m'ordonna d'arrêter et retira violemment son poignet. Je tombai sur le sol et fus pris de spasmes accompagné d'une douleur atroce. Je retins mes cris autant que je le pouvais, mais je ne pus m'empêcher de geindre. Une main douce et glaciale passa sur mon visage et j'entendis la voix rassurante du magnifique homme qui m'avait recueilli et sauvé.
"Ne t'en fais pas, mon amour. Chacun d'entre nous doit passer par là. Ce n'est que ton corps qui meurt. Ca ne va pas durer trongtemps."
Ses paroles eurent l'effet escompté, je me calmai et supportai la douleur en silence. Puis elle cessa totalement et je fus envahi par une myriade de sensations inconnues et exquises. Mircea m'aida à me relever avec une grande douceur et m'embrassa à nouveau. Puis, il m'emmena à l'extérieur du manoir et me montra la beauté de la nuit. Tout semblait différent tout en restant le même. Une nouvelle vie s'offrait à moi.

Je passai plus de cinq ans auprès de Mircea à Alba Iula, découvrant mes nouveaux pouvoirs, me délectant du sang de cette petite capitale, apprenant à apprivoiser ma nature, à l'accepter. Mon créateur m'apprit que comme les humains tuaient des animaux pour se nourrir, notre espèce tuait des humains pour survivre. Il connaissait le moyen de vaincre le moindre de mes scrupules et bientôt, tuer pour me nourrir ne posa plus le moindre souci, même si je préférais de loin infliger le moins de douleur possible à mes victimes. Parfois même, elles n'avaient pas le temps de se rendre compte de ce qu'il leur arrivait. Du moins, dans les premiers temps, avant que je n'apprenne à jouer. Mircea avait décidé de faire de moi un prince oriental, m'accordant le moindre de mes désirs, me mettant sur un piedestal. J'étais très heureux avec mon créateur, mais ma famille me manquait terriblement.
Je décidai donc de rentrer chez moi, malgré les mises en garde de mon amant. Mircea m'accompagna, ne souhaitant pas me laisser seul. Arrivé au château de Bran, je retrouvai avec plaisir ma mère et ma soeur, mais appris avec horreur la mort de mon père. Il s'était éteint trois ans auparavant, emporté par une attaque d'apoplexie, sans avoir changé son testament, ce qui faisait de moi le nouveau Duc Vasilescu. Mircea et moi-même prétendîmes être atteints d'une maladie étrange qui nous interdisait toute exposition à la lumière du jour. Je confiai la gestion des affaires du duché à ma mère qui les avait assumé avec sagesse et dévotion depuis la mort du Duc Andrei. Mon amour me prévint que je jouais un jeu dangereux en voulant vivre auprès de ma famille, que je mettais notre secret en péril. Mais je ne pouvais me résoudre à abandonner les miens une seconde fois. Je lui répondis que je voulais prendre le risque. Je ne compris que trop tard que le secret n'était pas la seule chose dans la balance.
Quelque cinq ans après mon retour, ma mère contracta la fièvre et aucun médecin ne put la soigner. Elle mourut quelques jours plus tard, en plein milieu de la journée. Je ne pus aller la voir que le soir venu et ma soeur était furieuse contre moi. Elle me révéla que Crina m'avait réclamé dans les dernières heures de son agonie, avant de s'en aller en claquant la porte. Cette nuit-là, je la passai au chevet de ma mère, sa main dans la mienne, des larmes de sang coulant sur mes joues pâles. Après des heures qui me semblèrent interminables, je sentis une présence à mes côtés. Mon "père" s'agenouilla près de moi, posa une main réconfortante sur mon épaule.
"Je partage ta douleur, mon amour. Mais je dois te prévenir qu'elle est notre lot, quand nous nous attachons à des mortels. Nous sommes condamnés à voir ceux que nous aimons vieillir et mourir, tandis que nos visages garde la pureté de la jeunesse." me dit-il en remettant une mèche blond platine derrière mon oreille.
"Pourquoi n'ai-je pas pu la sauver ? Nous sommes le pouvoir, nous sommes l'immortel, pourquoi... ?"
"Tu ne peux pas tout avoir, Cilian. Et tu ne peux sauver tout le monde."
D'un geste doux, il essuya mes larmes et me serra contre lui. Puis il me fit lâcher la main de la défunte et m'emmena à l'extérieur du château. Je devais me nourrir, disait-il. Mais à quoi bon, si vivre signifiait voir tout ceux que j'aimais mourir ?

Les jours qui suivirent furent fort tristes. Je ne pus assister aux funérailles de la Duchesse Crina. Ma soeur me rapporta que tout le monde s'en était offusqué et qu'elle ne me reconnaissait plus. Je ne pouvais lui dire la raison de ce changement et ce silence forcé l'éloignait de plus en plus de moi. Tout cela me faisait terriblement souffrir et la présence de mon cher amour finit par ne plus suffir à m'apaiser. Je commençai à essayer de noyer mon mal dans la chasse que j'affinai pour en faire un jeu de séduction et de vice. Bientôt, on commença à entendre d'étrange histoires dans la région: une bête s'attaquerait aux jeunes gens des environs du château de Bran. Mais, quand ces rumeurs arrivèrent à mes oreilles, j'étais devenu sourd à tout ce qui se passait dans mon domaine: ma soeur était malade. Il sembalit qu'elle avait contracté la même fièvre que notre mère. Je passai une bonne partie de mes nuits à son chevet, essayant de faire taire les élans de mon coeur froid qui me hurlait d'en faire une des nôtres. J'aimais tant ma soeur qu'égoïstement je voulais la garder éternellement à mes côtés. Je n'avais pu sauver ni mon cher Dorin, ni Dragos, ni ma mère, je ne pouvais supporter de laisser ma chère Sorina mourir sans rien faire. Un soir, voulant à tout prix apaiser cette douleur, je me résignai à lui faire ce Don Obscur. La transformation fut aussi douloureuse pour elle que pour moi, mais cela en valait la peine. Mircea me rabroua sèchement pour avoir fait cela, me disant que je l'avais condamnée à une Eternité qu'elle n'avait pas choisie. Et c'était lui qui me reprochait ça ? Lui qui m'avait arraché à ma vie de mortel, sans même me donner le choix ?

Les années s'écoulèrent doucement, lentement, et nous dûmes finalement partir du château, les gens commençant à se poser des questions. Je confiai mon duché à un intendant qui connaissait notre secret, puis Mircea, Sorina et moi disparûmes dans la nuit, n'emportant que nos cercueils respectifs et quelques menus souvenirs auquels nous tenions. Nous nous rendîmes d'abord en Italie, le pays de mes rêves d'enfant. Mais je me rendis compte que ce pays n'avait rien de particulier de nuit. Les vignobles, les ruines antiques, tout ce que m'avait décrit mon ancien amant avaient la même couleur et je m'en lassai vite. Seules les villes et leur vie nocturne riche et bariolée m'apportaient mon lot de sensations. Nous évitâmes tout de même Rome qui, selon mon créateur, était le repaire d'un groupe de Vampires qu'il valait mieux éviter de contrarier. Nous parcourûmes ensuite le reste de l'Europe, semant la mort sur notre passage, ombres silencieuses et mortelles parmi les humains. Nous fîmes de nombreuses rencontres fort intéressantes, notamment celle du Vampire Julien. Si Mircea restait mon amant, mon amour, Julien sut me séduire à un point assez extraordinaire. Mon attirance certaine pour lui conduisit mon créateur à partir de son côté, du moins pour quelques temps. Auprès de Julien, j'appris des choses que jamais mon "père" n'aurait pu m'enseigner, pour la simple et bonne raison que le Nordique avait vécu bien plus longtemps que Mircea. Il fit de moi son élève, puis son amant. Mais ma soeur s'ennuyait de la Transylvanie, alors je quittai mon mentor et ami, ne voulant plus jamais être loin de Sorina. Nous revînmes donc en notre château qu'un successeur de notre intendant maintenait en état. Le titre de Duc s'était perdu avec ma disparition sans héritier, mais le château restait notre possession, grâce à un arbre généalogique contrefait et de faux parents éloignés ou légitimés.

Bientôt les rumeurs reprirent et des affaires de violation de sépultures éclatèrent dans toute la région: décapitation de cadavres, pieux dans le coeur, bouches pleines d'hosties consacrées, tombes emplies d'ail,... les superstitions habituelle liées aux Vampires. Heureusement pour nous, personne n'osa venir profaner la crypte familiale et ni nos tombeaux de granit, ni nos cercueils de bois ne furant découverts. Je n'étais pas aussi discret que je l'aurais dû. Au contraire de ma soeur, ombre mortelle parmi les ombres, chasseresse hors pair, tueuse presque parfaite. Elle ne s'embarassait guère de ce long et fastidieux jeu de séduction que j'avais adopté pour rendre la chasse plus exctante. Elle avait sa propre manière de "meubler" son Eternité. Quand nous chassions tous deux, nous formions un couple redoutable. Elle était ma Louve Noire, j'étais sa Rose Empoisonnée.

Durant le XVIIIe siècle, je me passionnai pour la musique classique, m'offrant différents instruments de qualité supérieure et me rendant à divers concerts dans plusieurs villes. J'eus l'immense plaisir de rencontrer le talentueux et extravagant Wolfgang Amadeus Mozart, à Rome, à Prague, Vienne et Paris. J'entretins avec lui une importante correspondance, bien que je le priai dans chacune de mes lettre de les brûler une fois qu'il y aurait répondu. J'adore sa musique et j'ai beaucoup aimé sa personnalité. Depuis ma naissance au Monde de la Nuit, il ny a eu que très peu de mortels que j'aie assez aimé pour me refuser à les tuer ou à les vampiriser; Wolfgang en fit partie. Je conserve d'ailleurs une bonne partie des lettres et des partitions qu'il m'a envoyé. J'étais une des rares personnes à qui le compositeur ait jamais demandé son avis à propos de ses oeuvres. bon, de là à ce qu'il écoute les critiques, c'était une autre histoire. J'eus énormément de chagrin en lisant une lettre de Constanze, le 20 décembre 1791, m'annonçant le décès de Wolferl. Cette nuit-là, je jouai chacune de ses oeuvres, en son honneur. Je ne m'arrêtai qu'au lever du jour, quand je fus obligé de rejoindre mon cercueil, des larmes de sang maculant mes joues.

Le lendemain soir, je me rendis à Alba Iula, sans ma soeur pour une fois. Je rêvais d'apaiser ce qu'il demeurait de ma douleur. Je ne m'étais pas nourri la veille, donc la soif me tiraillait atrocement. De plus, il me fallait me distraire un peu. Je me dirigeai vers le manoir d'un jeune noble transylvain qui organisait très souvent des orgies fort agréables et d'une décadence exquise. J'étais toujours le bienvenu dans ses fêtes. À la porte de la demeure, juste avant d'y entrer, je croisai mon cher Mircea, affublé d'un magnifique loup de velours noir brodé d'argent et serti de pierres fines. Il me salua en m'embrassant, comme si nous nous étions quitté la veille , comme je ne l'avais jamais laissé pour un autre, comme si nous n'avions jamis rencontré Julien. Puis, même sans avoir à parler, nous entrâmes dans cet antre du vice. Deux magnifiques jeunes femmes aux seins nus nous apportèrent du vin et nous entraînèrent dans une alcôve où elles se mirent à nous embrasser avec passion. Une très charmante manière de débuter la soirée. Et leur sang me fut un véritable délice après deux nuits de jeûne. Puis, une fois repus, nous rejoignîmes la salle où se déroulait une bacchanale digne des dionysies antiques. Notre hôte, le jeune comte Mihail Vibescu, était vautré dans un somptueux canapé de velours rouge aux magnifiques broderies d'or fin, et était entouré de jeunes gens nus qui semblaient tout droit sortis des légendes grecques et romaines. Ce spectacle était un ravissement de décadence et il m'arracha un sourire amusé. Mircea me fit m'asseoir sur un sofa confortable et m'embrassa langoureusement en me caressanr la nuque. Ses mains étaient encore chaudes du sang qu'il venait de boire et comme la première fois où nous nous étions embrassés, ce baiser m'électrisa. Puis, il me laissa un instant avant de revenir accompagné d'une fraîche jeune femme en robe blanche et un éphèbe simpéement vêtu d'un pantalon immaculé. Mon créateur ordonna au bel Adonis de m'enlever mon haut avec délicatesse, tandis que mon aîné embrassait la belle Danaïde dans le cou.
Soudain, il me sembla qu'un ange traversa mon champ de vision et m'extirpa des brumes de la volupté où m'avaient plongé les douces caresses du jeune homme qui m'embrassait à présent: grand , joliment musclé, de grands yeux sombres, de courts cheveux châtain clair, rasé de frais, le nouvel arrivant avait tout d'un Apollon. Quand son regard se posa sur moi, il était clair pour moi que je ne pouvais laisser une telle beauté se diluer et se faner dans le temps. Congédiant l'éphèbe que mon "père" m'avait amené d'un geste de la main je me relevai et m'approchai de l'apparition avec un sourire. Nos regards se croisèrent et ce fut comme si nous nous connaissions depuis toujours. Nous n'eûmes aucun besoin de parler, il me suivit, sans un mot.

Ilie- c'était son prénom- devint mon amant peu de temps après cette nuit. Il me fascinait, me grisait, même s'il avait parfois tendance à m'échapper. Je le surnommais "mon cruel" chaque fois qu'il s'éloignait de moi et revenait parfois un mois plus tard. Il prenait plaisir à me torturer, mon bel Ange des Ténèbres. Mais, un soir, je n'y tins plus, je le fis mien. En le voyant se tordre de douleur sous mes yeux, je fondis en sanglots. Quand il se releva, changé mais toujours le même, il me regarda dans les yeux et m'embrassa, sans rien dire. Il ne m'a jamais rien reproché, mais quelques fois, quand nos regards se croisent, une grande vague de culpabilité m'envahit. Depuis que je lui ai fait cadeau du Don Obscur, il ne s'est plus jamais éloigné de moi, restant au château avec Sorina, son infante Mircalla et moi. Par contre, il m'arrive de m'éclipser à Alba Iula pour rejoindre mon "père". Et, secrètement, j'espère toujours revoir mon cher et tendre Julien, même si cela ferait beaucoup de mal à Mircea.

Voilà. Le récit de ma longue et trépidante vie de Vampire. Ajourd'hui, je vis toujours au châeatu de Bran avec mes enfants, ou au manoir d'Alba Iula avec mon créateur. Ca vous a plu ?


"C'est toi qui voulais jouer dans mon monde... Mes épines piquent, fallait s'y attendre... mon chaton..."








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Afin que vous ne soyez plus un étranger, présentez-vous quelques peu.

Prénom : Valentine
Âge : 20 ans
Expérience en Rp : Au moins 3-4 ans.
Fréquence de connexion : Aussi régulièrement possible.
Découverte du forum : Je cherchais un forum RPG sur l'univers d'Anne Rice et comme je le trouvais génial, je m'y suis inscrite ^^




Dernière édition par Cilian le Mar 28 Aoû - 20:56, édité 33 fois
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Astrid
Théâtre des Vampires
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"Je pouvais sur mon coup, sentir sa chaude haleine. La peau de ma gorge commençait alors à me picoter... Je pouvais sentir les délicats et frémissants frôlements des lèvres sur ma gorge à la peau délicate, et la dure incision de deux dents aiguisées."


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MessageSujet: Re: Cilian    Cilian  EmptySam 26 Mai - 11:30

BIENVENUE A TOI ! *___*
Je sens que ton perso risque d'être fort intéressant...
Bon courage pour ta fiche ! ♥
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« Le mal, c'est quelque chose de toujours possible. Et le bien, c'est quelque chose d'éternellement difficile. »


Une femme reste une femme malgré l immortalité qui hante certaine. Méfiez vous des apparences ...

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MessageSujet: Re: Cilian    Cilian  EmptySam 26 Mai - 11:35


BIENVENUE A TOI !!! *O*

En plus j'sens que j'vais bien t'aimer, tu fais également partie des enjôleurs *.*

Sinon je te souhaite bon courage pour ta fiche ! J'ai hâte de la lire Wink
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Azraëlle
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"Triste Lune dont le reflet est accessible de tous. Toi Lune grise, tu règne sur ceux-là qui ne voient plus que toi...
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MessageSujet: Re: Cilian    Cilian  EmptyLun 28 Mai - 16:54

Bienvenue par chez nous!

Bon courage pour rédiger la fin de ta fiche, je gage qu'elle sera aussi bien que l'histoire *.*
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Armand
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Aucune Voie du Diable ne se déroule sous mes pas et aucun carillon de l'Enfer ne résonne a mes oreilles...


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MessageSujet: Re: Cilian    Cilian  EmptyMar 29 Mai - 16:45

Bienvenue et bonne continuation pour la suite de ta description !
Sache que le début de ton histoire est déjà génial et, j'ai hâte d'en connaître la suite ! *.*
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Rose
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MessageSujet: Re: Cilian    Cilian  EmptyVen 22 Juin - 17:33

Welcooome Very Happy
Bonne chance pour t'a fiche ^^
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Cilian
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"Le charme : une manière de s'entendre répondre “oui” sans avoir posé aucune question claire."


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MessageSujet: Re: Cilian    Cilian  EmptyJeu 16 Aoû - 22:34

Je suis désolée de ma longue absence. J'essaie de terminer ma prés' au plus vite. ^^
Merci pour votre accueil ^^.

(Rose, ta signa, c'est bien "Je compte sur mes doigts" de Dracula L'Amour Plus fort que La Mort" ? ^^)
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MessageSujet: Re: Cilian    Cilian  EmptyVen 17 Aoû - 2:54

Et vouii ^^ j'ai un peu remixer la fin pour mon perso mais sinon oui c'est sa Very Happy
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MessageSujet: Re: Cilian    Cilian  EmptyDim 19 Aoû - 9:59

*Arrive légèrement un tantinet en retard*

Je pensais que tu nous avais abandonné è_é
Je suis heureuse de m'être trompé *-*
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MessageSujet: Re: Cilian    Cilian  EmptyMer 22 Aoû - 21:09

Petit message pour vous prévenir que je viens de mettre le point final à ma présentation et que je la livre entre les mains expertes de nos chères administratices. ^^
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Eshiny
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« Et c'est pour cela, maudite chère enfant gâtée, que je suis maintenant couché à tes pieds, cherchant dans toute ta personne le reflet de la redoutable Divinité... »


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MessageSujet: Re: Cilian    Cilian  EmptyLun 27 Aoû - 10:11

Bienvenu chez les enjôleurs mon cher Cilian et félicitation pour ta présentation ! \o/
Sâche que j'veux un lien avec Eshy è_é.
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MessageSujet: Re: Cilian    Cilian  EmptyLun 27 Aoû - 10:33

Merci Eschiny. Et c'est volontiers pour le lien. ^^ Quel genre de lien souhaites-tu ?
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Cilian

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